Thursday, March 31, 2011

Education : « L’Etat joue avec l’avenir de toute une génération d’adultes », selon le MMM

Le Mouvement Militant Mauricien (MMM) déplore l’inaction du gouvernement dans le secteur éducatif pré-primaire. Le député  Steve Obeegadoo se dit inquiet déçu et inquiet face aux «  réponses agressives et légères » des ministres concernés au Parlement.

Le député MMM a animé une conférence de presse ce jeudi 31 mars pour exprimer  sa déception et son inquiétude face aux réponses « agressives et légères » du ministre de l’Education, Vasant Bunwaree, et celui  et de l’Egalité des genres, du développement de l’enfant et du bien être de la famille, Sheila Bappoo, lors de la dernière session parlementaire.

« Amateurisme, mauvaise gouvernance et absence de vision », tels ont été les propos tenus par les députés mauves Steve Obeegadoo, Françoise Labelle et Lisie Ribot, pour décrire le rôle du gouvernement concernant l’éducation des enfants. Ils ont évoqué les sujets d’actualité comme  l’allongement des heures d’ouverture jusqu’à 18 heures dans les écoles maternelles, les récents cas de maltraitance et d’allégations d’abus sexuels à l’encontre, l’introduction du kreol dans les écoles et la réforme du Certificate of Primary Education (CPE).

Selon les trois députés de l’opposition, le gouvernement ne pratique pas une politique claire sur l’éducation pré-primaire, ce qui risque de mettre en péril et de déstabiliser toute « une génération de futurs adultes ». L’allongement des horaires en maternelle a suscité un certain nombre de questions,  concernant  entre autres les qualifications du personnel, le coût d’une telle mesure pour les parents, le réaménagement des infrastructures et l’alimentation. « Que vont manger ces enfants ? Comment vont-ils organiser  leur temps jusqu’à 18 heures ? », s’est demandé la député Lisie Ribot, enseignante de formation.

Par ailleurs, les trois députés ont critiqué la ministre Sheila Bappoo pour sa « légèté » par rapport aux récents incidents de violence physique et d’allégations de sévices sexuels à l’encontre des petits enfants. Ces incidents sont  révélateurs d’une situation scandaleuse, mais ont été pris « à la légère » par la ministre, selon les trois députés MMM. « Ses réponses à nos questions au Parlement sont décevantes et démontrent une légèreté scandaleuse. A la question sur le sort des 89 écoles maternelles sur 246 opérant dans l’illégalité, elle a  répondu qu’elle ne peut rien faire car elle ne dispose que d’une équipe squelettique, le ministère des finances ne lui donnant pas de moyens », a souligné Françoise Labelle.

En effet, le ministère ne dispose que d’une équipe composée d’un superviseur et de six cadres pour effectuer des inspections dans les écoles maternelles du pays, alors que la dernière formation du personnel enseignant dans ce secteur  avait eu lieu entre septembre et décembre 2009.
L'Express

Wednesday, March 30, 2011

Prevention Week à l’école primaire Emmanuel Anquetil

À Roche-Bois – L’heure est à la prévention

Une Prevention Week a été lancée mardi à l’école primaire Emmanuel Anquetil de Roche-Bois. L’objectif est de sensibiliser tant les écoliers que leurs parents sur les méfaits de la drogue. Figure aussi au programme une campagne de prévention sur la grossesse infantile, la délinquance juvénile, la sécurité routière et le vol. L’initiative revient à la force policière dans le cadre du Community Policing et du regroupement des forces vives de Roche-Bois.

Cette campagne de prévention et de sensibilisation prendra fin le 31 mars. Diverses unités de la force policière, à l’instar de la Brigade des mineurs, sont appelées à dispenser des causeries aux élèves, aux enseignants et aux parents. La NATReSA y participera également.

Tuesday, March 29, 2011

Bunwaree : Amender l’Education Act pour abolir les leçons en Std 4

Pour Vasant Bunwaree, appliquer le programme d’amélioration pendant les années d’apprentissage des écoliers serait plus bénéfique que les inciter à prendre des leçons particulières. Evoquant ses appréhensions sur les leçons en Std IV, il a dit que le ministère présentera bientôt un projet de loi à l’Assemblée nationale pour amender l’Education Act. “C’est de cette façon que nous réussirons à abolir les leçons particulières en Std IV.”

Autre point soulevé est l’amélioration des infrastructures du préscolaire, du primaire et du secondaire. Le but est “d’équiper tous les établissements avec les mêmes facilités pour tous les enfants, incluant les handicapés”. Durant les cinq dernières années, a-t-il mentionné, le ministère a déboursé une somme de Rs 2,6 milliards pour effectuer les travaux d’infrastructures.

Il compte aussi apporter une révolution digitale dans le secteur éducatif. A ce jour, a indiqué Vasant Bunwaree, toutes les écoles primaires sont dotées d’ordinateurs. Et d’ajouter que 83 % des enfants du primaire maîtrisent déjà le ‘Word Processing’. L’informatique aidera aussi à enseigner les mathématiques, l’histoire et la géographie.

Pour contrer les problèmes d’indiscipline dans les établissements scolaires, le ministre a indiqué que l’introduction du SMS Service a porté ses fruits, car le taux d’absentéisme a baissé durant l’année. “Le SMS Service a été un projet pilote introduit dans 33 collèges et sera bientôt étendu à d’autres collèges.” Pour combattre l’absentéisme, des programmes de sensibilisation ont été mis en place en collaboration avec la Brigade des mineurs et d’autres organisations. Pour Vasant Bunwaree, la présence d’un élève à l’école est primordiale. C’est la raison pour laquelle les techniciens de son ministère travaillent sur un ‘dossier scolaire’. Un enfant l’aura dès son entrée à l’école primaire jusqu’au secondaire.

Le ministre a affirmé que des discussions avec les partenaires sont prévues pour revoir les écoles Zones d’éducation prioritaires (ZEP). “Un tiers de ces écoles ne correspondent plus aux ZEP aujourd’hui, car elles ont un taux de réussite de 40 %. Il faut leur enlever cette appellation sans leur retirer les avantages. Certains parents stigmatisent ceux admis dans ces écoles. Il nous faut revoir la situation”, a-t-il expliqué.

Vasant Bunwaree annonce que des changements sont prévus au niveau de la filière préprofessionnelle en 2011. “Nous pensons augmenter la durée de la scolarité d’une année. Nous avons constaté que ces élèves ne maîtrisent ni les connaissances académiques, ni professionnelles. Nous devrons apporter des changements au cours de l’année. Pour l’instant, nous faisons du brainstorming”, a-t-il soutenu. L’organisation des examens nationaux par le Mauritius Examinations Syndicate est aussi envisagée pour les élèves du préprofessionnel afin qu’ils puissent obtenir un certificat alternatif à celui du CPE.

Concernant l’introduction du kreol dans le cursus scolaire, Vasant Bunwaree s’est réjoui du travail effectué jusqu’à présent par l’Akademi du kreol morisien. Il a récemment rencontré les membres de cette académie qui comptent bientôt lui soumettre une partie de leurs travaux. De son côté, le ministère identifiera les enseignants du kreol. “Nous circulerons un papier pour demander aux professeurs intéressés à enseigner le kreol de se faire connaître.

Nous avons besoin de ceux maîtrisant à la fois le kreol et les méthodes pédagogiques, entre autres. Ils bénéficieront du même statut et des mêmes conditions de travail que les enseignants de langues orientales”, a-t-il souligné.
Le Matinal

Orange Expo - Learn

 Des nouveautés à découvrir à Orange Expo
 
Learn sera le thème d’Orange Expo qui se tiendra pendant trois jours, du 8 au 10 avril au Centre de Convention International Swami Vivekananda à Pailles. Mauritius Telecom et Orange promoteurs de cette expo comptent accueillir plus de 50 000 visiteurs cette année contre 45 900 l’année dernière.


 Découvrir la salle numérique de demain
Orange Expo est un événement annuel destiné au public et aux entreprises, a souligné Sarat Lallah le CEO de Mauritius Telecom, lors d’un point de presse au Telecom Tower.

“Orange Expo ne sera pas un salon axé uniquement sur les nouvelles technologies car les visiteurs pourront y trouver des produits et des services pour se divertir et pour mieux communiquer”. “Avec Orange Expo 2011, les Mauriciens, pourront découvrir la “Digital Classroom” ou la salle de classe numérique de demain et les possibilités de formation par le mode numérique. Avec le ‘digital learning’, la formation pourra se poursuivre en d’autres lieux que l’école ou le centre de formation, ouvrant des opportunités à l’ensemble de la population et aux entreprises pour qui la formation continue est un gage de compétitivité et de fidélisation des salariés. Apprendre ne sera plus pareil après Orange Expo”.

Le CEO a dit que les visiteurs vont découvrir le fonctionnement et les possibilités qu’offre une plate-forme de formation électronique. “Le digital learning permet d’apprendre à tout âge, des écoliers du cycle primaire et ceux qui travaillent déjà et qui souhaiteraient se perfectionner ou acquérir de nouvelles compétences, en passant par les élèves du secondaire et les étudiants du tertiaire. Les entreprises pourront avoir un aperçu des nouveaux services qui seront introduits pour permettre aux compagnies d’accroître la productivité de leurs employés ou d’obtenir un avantage concurrentiel qui fera toute la différence.” Sarat Lallah a dit que les directeurs d’entreprises seront invités à assister aux nouvelles possibilités qu’offre la salle de réunion “intelligente” ou comment est-ce que les entreprises pourront se concentrer sur leur “core business” en laissant à Mauritius Telecom-Orange de gérer toute la partie à travers le service “cloud computing” que nous allons dévoiler en avant-première à Orange Expo.

“Nous proposerons diverses innovations, à commencer par les visites guidées selon vos centres d’intérêt. Divers parcours seront proposés aux visiteurs en fonction de ce qu’ils souhaiteraient découvrir. Les employés de Mauritius Telecom-Orange proposeront, aux visiteurs, un itinéraire qui répond à leur intérêt particulier. Un coin pour les enfants où ils pourront se détendre en découvrant différents pays sur une mappe monde géante ou en faisant leurs premiers pas dans le monde numérique sous la garde des employés”.

Emmanuel André, le Executive Head Commercial a dit qu’on aura une salle de classe numérique avec, un tableau numérique interactif, des terminaux de type tablette mis à la disposition des élèves présents, l’accès à des contenus éducatifs numérisés, des logiciels interactifs.

Des cours dispensés dans un environnement numérique
Les visiteursauront droit à des cours ou à des séances de formation tels qu’ils seront dispensés demain. Des mini cours seront dispensés sur des sujets tels que les sciences, les mathématiques ou la formation professionnelle dans le secteur de l’hôtellerie. “En milieu professionnel, la formation numérique offre plein d’avantages. Des cours de formation peuvent être accédés à travers l’Internet par les employés d’une entreprise à leur bureau ou dans le confort de leur maison. Plus besoin de se déplacer, évitant le stress des embouteillages, réduisant la consommation d’essence et les effets négatifs sur l’environnement. Les employés peuvent suivre les cours lorsqu’ils sont libres, en conciliant les études et leur vie familiale.”
Le Matinal

Enseignement du kreol – L’orthographe déjà prête

Les travaux de l’Académie Kreol Morisien sont en bonne voie. C’est vers la fin du mois d’avril que le deuxième groupe soumettra une première ébauche de ses recherches à la commission. Celle-ci est présidée par Daniella Police-Michel.

Elle a pour tâche de travailler sur la grammaire du kreol et sur la pédagogie pour l’enseignement de cette langue. À noter que le Pr Arnaud Carpooran a déjà soumis son travail sur l’orthographe. Le ministre de l'Éducation, le Dr Vasant Bunwaree, qui a rencontré la presse, a longuement commenté ce dossier. Il affiche la satisfaction quant au travail de comité qui va « vite et bien ».

À l’Assemblée nationale, mardi dernier, le ministre de l’Éducation a fait ressortir que son ministère a démarré son exercice de recrutement d’enseignants. À ce jour, 28 ont déjà exprimé leur souhait d’enseigner le kreol morisien.Pour une bonne planification de la rentrée de 2012, les enregistrements des enfants pour la Std I se feront au mois d’avril au lieu de mai. Cet exercice permettra au ministère de connaître le nombre d’enfants qui opteront pour l’apprentissage du créole et d’agir en conséquence.

Le Dr Vasant Bunwaree ne compte faire de compromis sur l’importance de cette langue à l’école. C’est ainsi qu’il a insisté qu’il ne faut pas compter sur lui pour faire « reculer le Kreol à l’école. Malgré ce travail important abattu en ce moment par l’Académie Kreol Morisien, le ministre note que les parents sont assez réticents. Une campagne de sensibilisation a démarré à partir de lundi.

Défi Média

Avinash Oojorah - Standard IV lessons to integrate whiteboards

Some 8,000 classrooms in Mauritius, Rodrigues and Agalega will soon be equipped with interactive whiteboards. The whiteboards will be used as a teaching tool for Standard IV students. The first shipment containing around 370 interactive whiteboards from France will reach Mauritius in the next few days.




A senior officer from the Ministry of Education and Human Resources confirmed that the ministry was expecting delivery of the second shipment soon.

Education minister Vasant Bunwaree highlighted that this new learning tool is in line with his ministry’s aim to “revolutionise primary education.”

The project follows the recent visit of a French delegation to Mauritius as part of an ambitious programme to bring the digital revolution to teaching in primary schools.

Avinash Oojorah, chief project manager at the Mauritius Institute of Education (MIE), explains that the interactive whiteboard is a tool which the teacher or pupil can not only use to write on like a blackboard, but can view and edit all types of documents, text and images using a stylus that acts as a mouse.

He added that the complete Standard IV curricula will be adapted into a digital version to make teaching livelier. Oojorah further said that the MIE has taken responsibility to provide training to teachers so that they know how to use the interactive board.

He added that the whiteboards will also be installed in the four educational areas and at the education centre of the MIE.

The Independent

Sunday, March 27, 2011

Certificate of primary education – Nouveau système pour les «repeaters»

Le ministre de l’éducation a analysé les résultats du CPE. Il a trouvé que, si le taux de réussite n’est pas plus important, c’est à cause de la performance des « repeaters ».

Le ministre de l’Éducation a donc mis en place un système qui va encadrer ceux qui redoublent le CPE. C’est l’annonce qu’il a faite, lors d’une conférence de presse, samedi.

Cet encadrement spécial a démarré, il y a quelques jours, dans toutes les écoles primaires. L’objectif de ce nouveau système, qui sera assuré par les enseignants qui viennent de terminer leur formation, vise à aider les enfants à maîtriser les langues dans lesquelles ils sont appelés à prendre leurs examens.

D’autant que, souvent, indique Vasant Bunwaree, ces enfants ne comprennent même pas le libellé de la question. Le ministre envisage, toujours concernant le CPE, de revoir le niveau d’une partie des papiers d’examens. « Nous savons tous que 40 % de ce papier sont très difficiles. Nous avons mis un comité sur pied pour voir comment alléger cette partie », a-t-il déclaré.

Il a cependant assuré qu’il n’était pas question de pénaliser l’élite. C’est pour cela qu’il compte organiser un forum pour discuter de ce dossier et dégager un consensus.

Il a profité de l’occasion pour répondre aux attaques formulées par l’opposition à l’Assemblée nationale, mardi. Chiffres à l’appui, il a démontré que le taux de réussite a augmenté depuis 2005 (quand les travaillistes ont pris les rênes du pays). Ce qui n’était pas le cas entre 2000 et 2005. Il se dit confiant que le taux de réussite au CPE va s’améliorer d’ici quelques années.

Il a apporté quelques précisions suite à la polémique sur les recrutements des enseignants pour la langue créole. Si la procédure habituelle n’a pas été suivie, c’est à cause de l’échéance 2012, année durant laquelle les cours en langue créole doivent démarrer. « Nous avons privilégié un système de ‘fast track’ car nous n’aurions pas pu attendre que des enseignants commencent leur formation maintenant afin qu’ils soient prêts dans trois ans. C’est pour cela que j’ai demandé à ceux qui viennent de terminer les cours au Mauritius Institute of Education (MIE) de choisir s’ils veulent enseigner la langue créole. Ils auront ensuite la liberté de retourner vers l’enseignement des filières générales », soutient Vasant Bunwaree.

Pour lui, la langue créole aura le même statut que les langues orientales dans les écoles. Il en est de même pour les enseignants, qui seront des fonctionnaires à part entière. Le ministre Bunwaree a aussi fait état de la « réticence » des parents à opter pour la langue créole. D’où une campagne de sensibilisation et de promotion qui démarre ce lundi sur ce sujet.
Défi Média

Une écolière allègue avoir été séquestrée et dévêtue par ses camarades

La police enquête actuellement sur une affaire de séquestration alléguée. Une écolière de 10 ans fréquentant une école primaire du Nord s’est plainte auprès de ses parents des sévices que lui auraient infligés des camarades de classe. Trois d’entre eux l’auraient ligotée et dévêtue pendant la journée de vendredi.
Défi Média

Friday, March 25, 2011

À l'école primaire de Réduit - Tué à coups de chaise

Elle nourrissait l’espoir de voir son mari se remettre de ses blessures mais Danwatee Dookhun a déchanté. Elle vient de le perdre dans des circonstances tragiques. Badwasing Dookun, 39 ans, son époux,  a rendu l’âme jeudi à l’unité des soins intensifs à l'hôpital de Candos. Ce dernier travaillait comme vigile à l’école du gouvernement de Réduit et avait été sauvagement agressé par un dénommé Patrice Jonathan François, 23 ans, connu des services de police, après une partie de beuverie. L’autopsie pratiquée par le médecin légiste Dr Salim Saib, a attribué le  décès à un  ‘choc due to cranio cerebral injuries’.

Depuis son agression au mois de janvier, Danwatee Dookhun faisait le va-et-vient à l'hôpital de Candos afin de s'enquérir de l'état de santé de son mari. Mercredi, elle affirme avoir vu son mari ouvrir les yeux, « hier il avait ouvert les yeux, je pensais qu’il s’en sortirait », confie-t-elle les larmes aux yeux. Elle s'apprêtait à se rendre à l'hôpital jeudi matin quand elle aurait reçu la triste nouvelle que son époux a poussé son dernier soupir.
Pour rappel, ce père de famille avait pris de l’emploi au sein d’une société de gardiennage en novembre 2010, après avoir travaillé dans une usine de textile. Il a eu des problèmes de santés. « Chan( Badwasing) travaillait comme opérateur dans une usine, mais il a dû subir une intervention chirurgicale. Il avait une grosseur au genou.  Les médecins lui ont dit de ne pas faire un travail trop fatiguant.  Il a donc quitté son emploi à l’usine », poursuit l’épouse de la victime.

Dans son nouvel emploi, il était chargé d’assurer la surveillance de l’école du gouvernement Soobiah à Réduit. Le jour de l’agression, il avait pris son service à 14h30. Il  était en compagnie d’un denommé Patrice Jonathan François, âgé de 23 ans, déjà connu des services de police. Ce dernier, un habitant de Reduit,  n’a ne semble-t-il pas apprécié une remarque lancée à son adresse  par le vigile Badwansing Dookhun « To pas ene  mari, mo garçon plus mari qui toi », aurait-il dit. Ce qui aurait provoqué le courroux du jeune homme, ils en sont venus aux mains avant que ce dernier ne l’agresse à coups de chaise.

Les limiers de la CID de Moka avaient en l’espace de quelques heures tiré cette affaire au clair en procédant à  l’arrestation de Patrice Jonathan François. Ce dernier qui avait tenté dans un premier temps de nier ces accusations mais il est finalement passé aux aveux après un interrogatoire serré. Il explique avoir picolé avec la victime mais après une banale dispute il l’avait giflé avant de lui assener des coups de poings. Finalement il l’a sauvagement agressé à l’aide d’une chaise avant de l’abandonner sur place. C’est son superviseur qui effectuait une ronde  qui a retrouvé la victime. Le Samu fut mandé sur place pour transporter la victime à l’hôpital.

Le  couple travaillait dans la même société de gardiennage.  L’épouse de la victime  travaille, elle, dans une école à Moka. L’épouse de la victime a été choquée par cette agression, car il était de nature calme.  « Il est connu comme étant une personne calme et très amicale.  C’est la police qui m’a informé que Chan (Badwasing) a été retrouvé inconscient sur son lieu de travail et qu’il a été admis à l’hôpital.  Pourquoi il a été battu comme un animal.  Il n’a jamais eu de problèmes avec qui que ce soit. Il n’a pas de mauvaise fréquentation », confiait elle.  

Marié depuis treize ans, Badwasing Dookhun laisse derrière lui un garçon de 6 ans et une fille de 10 ans et une épouse dans la tourmente. Sa famille entière pleure sa soudaine disparition.

L’accusé se trouve en détention, il était accusé de ‘serions assault’.

Thursday, March 24, 2011

Kreol Morisien au primaire : Jimmy Harmon réclame l’annulation de l’exercice des enseignants

Jimmy Harmon, membre de l’Académie Kreol Morisien, réclame que l’exercice de recrutement des enseignants de la langue créole soit annulé. Cet exercice est en cours après la décision d’introduire prochainement le Kreol Morisien comme matière au primaire.

Jimmy Harmon déplore que ce soient des enseignants du primaire qui ont été appelés à suivre une formation pour enseigner le Kreol Morisien. Il soutient que ces derniers sont déjà débordés de travail car ils enseignent quatre matières (anglais, français, mathématiques et sciences & histoires). Dans une déclaration à Radio Plus, Jimmy Harmon souhaite que des nouveaux enseignants soient recrutés pour enseigner le Kreol Morisien.

Défi Média

Monday, March 21, 2011

A 5 ans, il est forcé à baisser son pantalon avant d’être battu

Âgé à peine de cinq ans, un élève d'une école primaire des hautes Plaines-Wilhems a été agressé par d’autres écoliers, il y a trois semaines. Le garçonnet est tout traumatisé. Si ses parents affirment qu’aucune mesure n’a été prise, la direction de l’école tient un tout autre discours.

« Vini nou montré toi ki bizin faire kan to vine grand… ». Tels sont les propos d’un groupe d’écoliers qui ont voulu jouer un mauvais tour à un élève âgé de cinq ans.  C’est sa première année à l’école primaire. Pourtant, le petit Pravesh (prénom fictif) a vécu un réel cauchemar, il y a trois semaines à l’heure de la récréation. Ses parents soutiennent qu’il est traumatisé, après avoir été agressé et humilié par d’autres élèves de l’école. Toutefois, ils considèrent que ce cas a été traité comme un incident mineur par la direction de l’établissement. Ce que la maîtresse d’école nie formellement.

Selon elle, on a donné une dimension dispropor­tionnée à cette affaire, et elle soutient que les parents peuvent faire transférer le petit Pravesh s’ils sont persuadés qu’il n’est pas en sécurité à l’école.

Les faits remontent, selon P.P., le père de l’enfant, à la fin du mois dernier. « Le petit a raconté qu’il jouait dans la cour de récréation lorsque plusieurs élèves se sont rapprochés de lui et lui ont lancé : ‘Vini nou montré toi ki bizin faire kan to vine grand...’ », soutient le papa. Pravesh aurait d’abord refusé de les suivre avant qu’il ne soit forcé de le faire.

Une fois arrivé près des toilettes, le groupe aurait exigé qu’il baisse so pantalon. « Zot finn bouscule li et finn oblige li pou baisse son pantalon », explique le père indigné.

Les autres élèves ont profité que Pravesh ait la tête baissée pour le pousser contre  le ‘vase’ des toilettes. « Il est tombé et s’est cogné la tête. Les élèves lui ont tapé dessus, et il s’est plaint de douleurs à l’estomac et au dos.  Comme s’ils n’étaient pas satisfaits de leur coup, ils l’ont ensuite séquestré dans les toilettes jusqu’à ce que la  cloche sonne. »

P.P. se dit exaspéré par cet incident, car son fils, âgé à peine de cinq ans, a été traumatisé et il ne cesse de parler de cette agression. Il affirme cependant qu'après l’incident, la direction l’a informé que Pravesh s’était blessé dans la cour de récréation et « personne ne m’a informé d’une quelconque agression. » Par la suite, une parade d’identification a été faite dans la cour de l’école afin que le petit puisse identifier ceux qui lui ont voulu du mal, mais en vain.

D’ailleurs, on s’interroge sur la capacité d’un enfant de cet âge de pouvoir dénoncer ses agresseurs sachant qu’ils pourraient se venger par la suite.

Ce que le père déplore, c’est le fait qu’aucune autre mesure n’a été prise et que l’affaire a été « quasiment étouffée ». Il affirme que des cas similaires se sont produits. Toutefois, les parents d’élèves ont peur de dénoncer ces faits.

« Toutes les mesures ont été prises »
La maîtresse d'école, Mme A., affirme qu'on a donné une dimension disproportionnée à cette affaire et que certains parents auraient une dent contre elle. « Tous les parents ont le choix de transférer leur enfant dans une meilleure école, et je n’oblige personne à rester dans notre établissement s’ils ne se sentent pas en sécurité ! Je sais que je fais de mon mieux pour garder la réputation de cette école, et il est bien dommage qu’une « petite bousculade », a créé une telle polémique », dit-elle.


Celle-ci ajoute également qu’elle n’était pas en mesure d’aller de l’avant car le petit Pravesh n’était pas en mesure d’identifier ceux qui l’ont 'bousculé'.

Une enquête départementale a été initiée et les parents ont été encouragés à voir un psychologue. Toutefois, selon P.P., « J’ai préféré m’abstenir, car je voulais que mon enfant oublie au plus vite ce traumatisme. Je ne pensais pas que l’affaire allait être traitée comme un incident mineur. »

Du côté du ministère de l'Éducation, nous apprenons que l’affaire a été rapportée et que toutes les actions ont été prises.

Source: Défi Média

Sunday, March 20, 2011

Vinod Seegum reconduit à la présidence de la GTU

Élections au sein de la GTU – Quatre à la suite pour Vinod Seegum

Les élections au sein de la Government Teachers’ Union (GTU) ont eu lieu, samedi, au Teachers’ Centre, à Quatre-Bornes. C’était une victoire écrasante pour Les Libérateurs, menés par Vinod Seegum, lors de la proclamation des résultats vers 22 heures. Le Groupe de l’unité, dirigé par Dharmanand Roopnah, s’était déjà avoué vaincu, alors que les premiers chiffres tombaient. Il y avait un écart de 972 voix entre le dernier candidat des Libérateurs et le premier du Groupe de l’unité.

«  Nous étions sûrs de gagner dès le début », déclare Vinod Seegum, qui retrouve le poste de président pour la quatrième fois consécutive. Selon lui, « la priorité du syndicat sera de poursuivre le combat contre le Enhancement Programme, concurremment à celui contre l’abolition des leçons particulières ».
De son côté, Dharmanand Roopnah déplore le taux élevé d’absentéisme à ces élections. Des 4 350 enseignants votants, 1 867 seulement ont participé au vote.

« Lors de notre campagne, on nous a fait croire qu’il y avait un grand nombre de personnes derrière nous. Nous avons été très bien accueillis, mais c’était de l’hypocrisie. Je remercie ceux qui nous ont soutenus jusqu’à la dernière minute », lance le candidat malheureux. Et d’ajouter que « Les Libérateurs ont manipulé et intimidé les électeurs. De ce fait, j'envisage de porter plainte au Registrar of Associations pour dénoncer les irrégularités ».

Source: Défi Média

Les écoles pré-primaires resteront ouvertes jusqu’à 18 h

Les écoles pré-primaires resteront ouvertes jusqu’à 18 h. C’est ce qu’a annoncé hier le ministre de l’Intégration sociale, Xavier-Luc Duval, lors d’un congrès de l’aile féminine du PMSD à l’Ecole hôtelière sir Gaëtan Duval, à Ebène. Il a précisé que le ministre de l’Education, Vasant Bunwaree, a déjà donné son aval pour que les horaires de fermeture des ces écoles soient étendus à 18 h. Actuellement, les écoles pré-primaires ferment à 14 h. Pour Xavier-Luc Duval, cette mesure assurera la sécurité des enfants pendant que leurs parents sont au travail.

Défi Média

Saturday, March 19, 2011

Un écolier renvoyé pour mauvais comportement

Salim Issur ne comprend pas pourquoi son fils a été mis à la porte de la Zam Zam Primary School. Ce dernier y est admis depuis la STD I et se trouve cette année en STD IV. « Lorsque mon fils Salladeen est rentré à la maison lundi dernier, le chauffeur du van a dit à ma femme qu’il ne viendra pas chercher notre fils le lendemain matin, ce dernier ayant été renvoyé ».

Lorsque la mère est allée aux renseignements le lendemain matin, elle a appris que son fils avait dit des jurons. Ce dernier n’était pas seul, il était en compagnie d’un autre garçon. Par ailleurs, Salim a affirmé que l’école a réclamé la somme de Rs 15 000 par année que l’enfant a fréquenté l’école. « Où allons-nous trouver cet argent ? Nous n’avons pas les moyens. »

Le père affirme que Salladeen a un très bon comportement. Il décrie le fait que l’école ait injustement puni son fils, puisque l’autre enfant a réintégré l’école.

Bilal Hossenally, du secrétariat de l’école, précise que le garçonnet en question a un mauvais comportement.
« À plusieurs reprises, nous avons convoqué les parents pour leur parler, mais ils ne se sont jamais présentés. À l’école, nous avons tout fait pour lui parler afin qu’il puisse changer, en vain. Il a effectivement dit des jurons à l’égard des enseignantes de sa classe. Nous ne pouvons pas tolérer une telle chose. »

Source: Défi Média

Paying Teachers Too Much? Or Too Little?



The debate over teacher pay is nothing new. And neither are the arguments about assumptions and methodologies. How do you assign a value to pensions and health benefits? How do you count the time teachers spend working outside the classroom or during summers? How do you factor in job protections and possibilities for advancement?

If you want a lengthy, detailed version of the debate, I highly recommend a 2005 exchange between economists Larry Mishel of the Economic Policy Institute* and Michael Podgursky of the University of Missouri-Columbia. Mishel argues that teachers have made less than other professionals of comparable education and experience, Podgursky argues they have made more. I think Mishel gets the best of the debate, in part because I’ve seen the EPI background material from which it’s drawn, although readers should decide for themselves.

But, at the risk of repeating myself, are we even asking the right question? Even if teachers do make more than similar professionals, is it enough to attract the best talent for a profession so vital to our country's future? 

Matt Miller, a former Clinton Administration official and TNR staff member, thinks the answer is "no." I've known him for a while and, I can assure you, he’s no raging leftist. But, writing in the Washington Post last week, he made the case for paying teachers more rather than less:

    ...we'll never attract the kind of talented young people we need to the teaching profession unless it pays far more than it does today. With starting teacher salaries averaging $39,000 nationally, and rising to an average maximum of $67,000, it's no surprise that we draw teachers from the bottom two-thirds of the college class; for schools in poor neighborhoods, teachers come largely from the bottom third.

Miller didn’t pull those numbers out of thin air. They come from a report that McKinsey & Company published last year and for which Miller was one of the lead researchers. The McKinsey team broke down teacher compensation, but with a twist: Instead of comparing how much teachers made relative to accountants, nurses, and other professionals, they compared how much teachers made relative to teachers in other countries. The U.S. did not stack up well:

And higher salaries weren’t the only difference. Other countries put much more emphasis on recruiting talented teachers:

    Singapore, Finland and South Korea do many things differently than does the U.S. … . These nations make admissions to rigorous teacher training programs highly selective; some also pay for these programs’ tuition and fees, and give students a salary or a living stipend while they train. In addition, government closely monitors the demand for teachers and regulates supply to match it, so that teachers who complete this selective training are guaranteed jobs in the profession. They offer competitive compensation, so that the financial rewards from teaching suffice to attract and retain top third students given the dynamics of these nations’ labor markets. They offer opportunities for advancement and growth in a professional working environment, and bestow enormous social prestige on the profession. Officials in Singapore, Finland and South Korea view the caliber of young person they draw to teaching as a critical national priority.

The McKinsey researchers were careful to point out the limits of their research: Among other things, there’s no clear statistical evidence that recruiting teachers from top college performers actually improves educational results. But there’s circumstantial evidence from the other countries that McKinsey studied. Particularly if we’re going to hold teachers more accountable for results, as many reformers suggest we should, reducing their compensation would seem particularly ill-advised.

*EPI gets more than a quarter of its funding from labor unions. Make of that what you will.

Update: By the way, for more on the difficult choices lawmakers face on teacher pay, it's worth going back to read what my colleague Seyward Darby (the real education expert in these parts) had to say last summer.

tnr

Girls outsmart boys at CPE



Girls have once more outsmarted boys at the national end-of-primary cycle examinations, the Certificate of Primary Education (CPE). The gap is quite wide with 71.59 per cent of boys and 80.39 per cent of girls passing the crucial examination. 

The 25,624 primary school children in Mauritius and Rodrigues who took part in the examinations received their results on December 13. Since 6 am, heads of schools were at the Mauritius Examinations Syndicate (MES) to take possession of the results slips of the school children attending their schools. 

Out of the 26,037 candidates who registered for the examinations, 25,624 took part in the examinations from October 19 to 22.

The percentage of candidates who have passed at their first sitting is 75.96 per cent (boys: 71.59 per cent, girls: 80.39 per cent) while 37.14 per cent (boys: 32.35 per cent, girls: 43.99 per cent) of the repeaters have crossed the bar. This adds up to 68.54 per cent. 

The percentage of private candidates sitting is 27.7 per cent (boys: 25.36 per cent, girls: 29.61 per cent).
MES director Lucien Finette said there was a slight improvement in the performance of students. “Last year we recorded an average success rate of 68.13 per cent, and we note that there was a slight increase this year,” he said. 

The latter also pointed out that more than 11 prison inmates had entered for the exams, eight of whom have passed. 

Regarding the number of differently-abled candidates, Finette said that there were 21 of them who participated in the exams.

Finette also said that the examination was not restricted to the 11 – 12 age group. “This year, a 54-year-old candidate took part in the CPE examination,” he said. 

He also informed that parents wishing to revise scripts can call at the MES from December 14 to 20. “A minimal fee of Rs 150 is charged per subject,” said a headteacher. Enrolment to colleges will be done on December 20. 

Vinod Seegum, president of the Government Teachers’ Union is said to be upset by the 31 per cent of candidates who have failed the exams. “I expected that the CPE results this year would cross the 70 per cent mark, but it is disappointing,” he said. To him, 31 per cent represents a national tragedy that has lasted for 35 years. “We ask that a High Powered Committee be set up so that we can attain 70 per cent next year,” said Seegum.

“We still have work to do. The minister of Education as well as other stakeholders should put in efforts so that we can address this worrying situation,” he added.

The Independent

Wednesday, March 16, 2011

Lettre pastorale – Mgr Piat se pose des questions sur l’éducation

Dans sa lettre pastorale, Mgr Maurice Piat, évêque de Port-Louis, mène une réflexion sur l’éducation à Maurice. Il note que « malgré de gros moyens déployés, et malgré l’engagement généreux des enseignants dans les écoles d’État comme dans les écoles pri­vées, le taux d’échec en fin du primaire (35 %), et le taux d’abandon scolaire au cours du secondaire (15 %), restent alarmants ».

Malgré de nombreux projets visant à renverser cette tendance, « que se passe-t-il ? Comment se fait-il que, malgré une scolarisation gratuite offerte à 100 % aux enfants mauriciens jusqu’à l’âge de 16 ans, près de 50 % d’entre eux sortent de là sans aucune qualification académique ? »

La facilité veut que ce sont les parents qui sont cloués au pilori en premier, mais cela serait trop simpliste. « Au lieu d’accuser les parents et de les accabler de nos critiques, il faut comprendre leurs difficultés et être solidaires d'eux. »

Tout en précisant que personne ne possède de remède miracle pour éduquer ses enfants, Mgr Piat propose à tous de vivre une solidarité concrète avec les parents, autour de la famille ou de l’école, en quartier ou en paroisse.

« L’introduction du « continuous assessment » au primaire, l’interdiction progressive des leçons particulières, (pour le moment elles sont interdites jusqu’en 4e, souhaitons qu’elles le soient jusqu’en 6e), le remplacement du CPE par un examen national à la fin de la Form III ; l’introduction d’une « remedial education » gratuite et mieux ciblée, organisée par l’école, après les heures de classe », sont autant d’initiatives qui vont dans le bon sens.

Tuesday, March 15, 2011

Vallée-des-Prêtes: 25 stray dogs attack two students

The problem of stray dogs has become a real headache. Two students were victims of a savage attack by these beasts ... Traumatized, they are under psychological assistance.

While the episode Shea and Ramses is still present in the minds of Mauritians, two more children, this time in the region of Vallée-des- Prêtes are in turn victims of an attack by a pack of wild dogs. Terrified, these two children are still afraid to leave their homes.

The stray dog ​​problem is a real headache for the authorities, more precisely to the Mauritius Society for the Prevention Against Cruelty to Animals (MSPCA). But faced with inadequate resources, this organization can not act effectively. Moreover, the MSPCA has only two vehicles to cover the entire island. While the population of stray dogs continues to increase. At such a rate that the MSPCA has identified about 200,000 stray dogs in Mauritius.

Faced with such numbers, the ability to pick a vehicle from the MSPCA is ridiculous: only 30 to 40 animals can be loaded into a van. "We made a request to the Ministry of Agro-Industry that special efforts be made to give us an allowance," said Farook Koodoruth, secretary of the MSPCA. Meanwhile, several incidents have been recorded at Vallée-des-Prêtes.

In late February, the two son of NJ get home from school. Both kids are on board a school bus that takes them to a bus shelter where their mother is waiting. But that day, a pack of dogs regrouped in the shelter. They were twenty-five in total. While the two kids were waiting, a dog jumps out. Panicked, the two boys started to cry.

The pack unleashed on them. One child had scratches on the body. " Mo fine gagne choc kan mone guette l’état mo zenfants. Mo fine alle demande banne dimoune dans quartier pou coné si sa banne lichien là pou zotte. C’est lerla ki mo fine coné ki c’est banne chiens errants. Et plusieurs motocyclistes fine blessés lors la route. Mo fine informe la MSPCA et mo fine faire ene police case "says NJ bitterly.

She says these dogs have no owner and roam the streets of Vallée-des-Prêtes. According to the mother, since this incident, her children are afraid to leave their homes. They are traumatized by a mere sight of dogs. " Mo pas coné ki bisin faire. Lerla mo fine téléphone un peu partout cotte mo fine tombe lors Child Development Unit. Zotte dire moi ki bisin faire ene suivi psychologique avec les deux enfants  "says the mother.
 
JAQ-T:
The problem of stray dogs in Mauritius is quite alarming.  Attacks on school children at Vallée-des- Prêtes.  Tomorrow, it can be in any region, on any child, on your child, on our child.  You know what it is to be attacked by dogs.  Watch the following video (Georgia Rice a 7 year-old from Lorain talks about being attacked by a pitbull):

 

Saturday, March 12, 2011

JAQ-T wishes you a Happy Independence Day

Thank You chacha Ramgoolam
 1968 - 2011
43 Years of Independence



Dr. Navinchandra Ramgoolam, Prime Minister:
Tous les établissements scolaires de l’île ont procédé à la traditionnelle cérémonie du lever du drapeau. Cela dans le cadre du 43e anniversaire de l’Indépendance de Maurice et du 19e anniversaire de l’acces­sion du pays au statut de République.  Dans son message aux étudiants, le Premier ministre, Navin Ramgoolam, a fait ressortir que le gouvernement souhaite rendre l’éducation accessible à tous.

« Le manque de moyens financiers ne doit pas être un obstacle pour empêcher un enfant d’aller à l’école, car l’éducation est le seul moyen de combattre la pauvreté… » Le PM a donné l’assurance aux étudiants qu’il continuera d’œuvrer pour l’amélioration de la qualité de vie de tous, afin que tous bénéficient des mêmes chances dans la vie. Il a cependant exhorté les élèves à assumer leurs responsabilités et faire de leur mieux dans les études. « Vous devez travailler sérieusement à l’école et respecter vos parents et enseignants. Vous, les futurs dirigeants de notre pays, vous avez un rôle important à jouer… »

À l’Université de Maurice, c’est Rajesh Jeetah, ministre de l’éducation supérieure, qui était l’invité d’honneur. Après avoir lu le message du PM, il a mis l’accent sur la volonté du gouvernement de « produire un gradué par famille ».

Sir Aneerood Jugnauth, President of the Republic of Mauritius:
«Les statistiques démontrent que nous consommons beaucoup trop. Nous devons veiller à nos dépenses. Au cas contraire, nous  risquons de devenir une nation endettée», prévient le président de la République.

Dans son message adressé à la nation hier soir dans le cadre de la Fête nationale, sir Anerood Jugnauth a demandé aux Mauriciens de contrôler leurs dépenses. «Il est important que tout un chacun sache maintenir l’équilibre entre ses dépenses et ses revenus. Ce n’est pas parce que nous sommes entourés des centres commerciaux que nous devons tout acheter, surtout des produits de luxe. Nous devons contrôler nos dépenses», a-t-il souligné.
.
Chief Guest: President of Maldive, Mohamed Nasheed:
1968-2011 : Maurice célèbre aujourd’hui le 43e anniversaire de son indépendance. Le pays fête aussi les 19 ans de son accession au statut de la République. Comme chaque année, une liste des décorés de la République a été rendue publique à l’occasion de la Fête nationale.

La plus haute distinction a été attribuée au président des Maldives, Mohamed Nasheed. Celui-ci, qui est l’invité d’honneur du gouvernement mauricien aux célébrations de la Fête nationale, est arrivé au pays hier. Il a été fait Grand Commander of the Order of The Star and Key of the Indian Ocean.

Parmi les autres décorés, on retrouve le ministre des Infrastructures publiques, Anil Bachoo, le ministre des Affaires étrangères, Arvin Boolell, Gaëtan Jabeemissar, le Chef commissaire de Rodrigues, l’ancien ministre Dharmanand Fokeer, le père Henri Souchon, Ramnath Jeetah, Jean Huges Maigrot, Mohmed Saleh Ali Parkar, Ramsamy Chedumbrum Pillay, Jairaj Ramkissoon, Keerteecoomar Ruhee, Yung Sing Tang. Ils ont été faits Grand Officer of the Order of the Star and Key of the Indian Ocean.

Voici la liste des autres décorés:
Commander of the Order of the Star and Key of the Indian Ocean
  • Dr Chong Wan Cheong Ah Tow
  • Maurice Allet, 
  • Prem Burton
  • Marie Micheline Fatima Chuttoo
  • Radhakrishna Somanah
  • Paramanund Soobarah, 
  • Rajamanee Veerapen

Officer of the Order of the Star and Key of the Indian Ocean
  • Shah Ahmud Mukhtar Allybocus
  • Rajendra Arun, Premsagar Bholah
  • Dr Gooroodeo Baujeewon
  • Hassam Choychoo
  • Bhee Fong Chu Ching Kow
  • Mahendra Gondeea
  • Reshad Hosany
  • Lindsay Morvan
  • Tiberman Mohunji Narain
  • Lida O’Reilly
  • Roopnarain Seetah
  • Dr Khesaven Sornum
  • Gerard Telot
  • Atmanun Venkatasami

Member of the Order of the Star and Key of the Indian Ocean
  • Louis Anselme Alexandre
  • Kresoon Dookun
  • Baboo Gowreesunker
  • Mirza Goolam Imrith
  • Soondren Karupudayyan
  • Antoine Eugène Gerard Louise
  • Jayraz Mahadowa
  • Jacques Désiré Laval Malie
  • Addess Mohun
  • Vikram Munbodhe
  • Mustapha Nowrung
  • Marchine Prudence
  • Beddraj Ragnuth
  • Gayetree Samboo
  • Tunraz Rampall
  • Pahlad Ramsurrun
  • Iswaraj Rookny
  • Ahmed Nashad Rumjaun
  • Lisette Talatte
  • Premdun Toofanny

Le DéfiPlus


JAQ-T:
L'île Maurice in gagn l'independence mais nou lir lhymne national en anglais.  Bokou ban zanfan pa compran ki messaz ena dan nou lhymne national. Ena bku faute - par exemple dan place "peace justice and liberty", ena bku zanfan dir "peace justice sunny betty".  Messaz PM et President aussi lir en anglais, ban zanfan la zot pa compran.,, kan nou pou gagn independence of our language?

JAQ-T dir souhaite zot tou n bne in2pendence.


Friday, March 11, 2011

At the School of Roche-Terre - A teacher escapes an attempted poisoning

She was terrified. A teacher (age: 37, lives at: Grand Gaube) at the primary school in Roche Terre was the victim of an attempted poisoning in his class of STD VI. Someone had added a substance into her water bottle during her absence. Fortunately, she noticed the water was abnormal.

Shortly before recess, about 11:00, students from the STD VI 'repeaters' went for their class of Asian Languages, while others remained in the classroom. 40 minutes later it was recess. And as usual, the teacher had only taken her purse out, leaving her water bottle in the classroom.

When she returned, around 12:30, all students were in class. When the teacher was going to drink some water, it was found that there was some froth in the bottle. Shaking, it was observed an increased formation of foam. It was then panic!

The teacher has rushed to her colleagues to inform them of this situation. She then went to the office of the Head Teacher to bring this matter before calling her husband, a policeman. Shortly after, a police team from Goodlands Police Station arrived.

The water bottle was seized before an inspection was made in the class. Nobody knew who added this substance in the bottle. Investigators, however, seized a container in another room containing a noxious substance used in schools for cleaning.

The teacher was taken to the Police Station of Goodlands for the purpose of investigation. She explained in great detail what had happened. The bottle of water, she was sent to the science lab for analysis. One hypothesis of the investigators may be that a student has made a bad joke to the teacher.

The victim, who has about 15 years of experience in the field, had just joined the school earlier this year. It was learned that she was giving free lessons to some of her students.

The teacher said she is very disturbed by what happened. "I escaped. Normally, I do not look in my bottle before drinking. That day, I do not know why I did it, and it saved me. I think it is because of my faith in God. I must say that I suspect no one, but there is someone who tried to poison me, "says this mother of two child, whose youngest is a student of this school.

"If, after recess, one of my students asked me water to drink, for sure I was not going to refuse him. What would have happened then? I would have been in trouble with the police. I appeal to the minister. Each time, he focuses on child safety, but for the teachers, there is not much. I wish that we be given some attention in order to have more security in our business, " added the victim.

Moreover, the President of the Government Teachers Union (GTU), Vinod Seegum grieves over lack of security regarding teachers. "This security issue is becoming increasingly alarming in our schools. It is time that the department concerned finds a solution. I suggest that the Ministry of Education should establish a crisis committee to ensure that all stakeholders meet and come with a set of recommendations.

I noticed that the problems of colleges are repeated in primary schools. There is 'gang violence' in some schools. I also suggest that teachers be paid to teach moral education in our schools, "said Vinod Seegum. 

Source: DéfiMédia

JAQ-T:
Theory of play, group work in pedagogy leads to chaotic situation in many classrooms and later lead to Gang Formation.

Record indiscipline problems as a film with your mobile camera and give me,everyone must know what is the real situation in the classroom.

Thursday, March 10, 2011

PRB gets ready for 2013 report

The Pay Research Bureau (PRB) has initiated large-scale plans for the preparation of the PRB Report 2013.

The submission deadline has been set for late October 2012, just weeks before the budget 2013 will be announced.

Mohun Aujayeb, acting director and his team started the necessary procedures after receiving the green light from the Prime minister Dr Navin Ramgoolam on December 8.

According to Aujayeb, the main objective of the PRB is to allow the officials to make up for the loss of purchasing power during the period 2008 to 2012.

Thus, the PRB has established a schedule of work over several stages from December 2011 to October 2012.

Around 20 technicians are expected to carefully analyse the various economic indicators including the gross domestic product (GDP) and inflation rate before proceeding with their recommendations.

The PRB is also seeing the performance of officials in the preparation of its report, five years after the publication of the PRB Report 2008 at a cost of Rs 5.2 billion.

The PRB officers have been working since last December, during which they began preliminary discussions with various federations, who have to submit their proposals by April 15, 2011.

The most important step which is the pay determination and conversion is scheduled for May. This exercise, which aims to determine wage increase, must be completed by September.

Aujayeb said that his priority is to compensate for the loss of purchasing power. “We are currently working on three major components, namely the structure of organisations, working conditions and salary review. We will do the maximum and in the interests of workers while taking into consideration the economic situation, before submitting our recommendations in the report PRB 2013,” he said.

The Independent.

Wednesday, March 9, 2011

Dharam Gokhool – « J’ai beaucoup de craintes sur la gestion de l’éducation »

Dans un contexte de mondialisation, on ne peut pas se permettre de sacrifier la qualité. C’est ce que l’ancien ministre de l’éducation dit constater actuellement. D’ailleurs, il a des craintes concernant la gestion du secteur de l’éducation à Maurice. Il revient également sur les grosses pluies de lundi où « les autorités ont failli à leur devoir ».
 
Une alerte aux pluies torrentielles a été émise lundi. On se souvient du tollé soulevé avec le décès de la jeune Laura Paul où vous étiez blâmé. Quel constat faites-vous concernant la réaction des autorités cette fois-ci ?
J’ai une pensée spéciale pour Laura Paul et sa famille. C’était une tragédie. Elle avait quitté l’école et elle était presque arrivée chez elle. C’est sur le pont de Mon-Goût qu’elle a perdu la vie et ce pont ne tombe pas directement sous la responsabilité du ministère de l’Éducation.

D’ailleurs, il n’y avait pas d’alerte aux pluies tor­rentielles ce jour-là. Le juge Domah a produit un rap­port et n’a pas blâmé le ministre Gokhool. Pour revenir à la journée de lundi, je constate que les autorités n’ont pas tiré les leçons des précédentes inondations et, surtout, des recommandations très pertinentes du juge Domah. Les autorités ont failli dans leur devoir.

Pourquoi dites-vous que les autorités ont failli ?
Il faut rappeler que dans le rapport du juge Domah, il y a des recommandations spécifiques pour le nettoyage des rivières, des drains et des canaux, et il y a également des recomman­dations pour revoir les dispositifs pour le réaménagement du territoire (urban planning). On ne peut pas faire de développements tout en mettant en péril la vie des citoyens. De plus, qu’est-ce que le « disaster committee » a fait en amont ?
 
Il y a eu, lundi, le cas de six enfants qui auraient pu y laisser la vie à Mapou quand leur van a été pris par les eaux…

Cela aurait été une véritable tragédie. Il y aurait eu des pertes de vie, mais heureusement qu’on n’en est pas arrivé là. On a déjà connu une expérience malheureuse avec le cas de Laura Paul. Prenant cela en exemple, il y a des mesures qui auraient dû être prises, mais qui ne l’ont pas été.

Quel regard jetez-vous sur l’affaire MedPoint qui continue à être au centre d’une polémique ?
Pour ce qui est des allégations entourant l’affaire MedPoint, les déclarations sont graves et sérieuses.  Tout le monde en parle et tout le monde attend des explications. Surtout les jeunes sur les réseaux sociaux qui exigent que les coupables soient sanctionnés de façon exemplaire. Un projet gouverne­mental, normalement, suit des étapes bien établies et bien contrôlées.

Dans un tel cas, il n’est pas difficile d’établir les responsabilités et d’informer le public et, s’il y a eu des écarts au niveau des responsabilités, de demander aux autorités compétentes de faire la lumière sur les zones d’ombre. Le silence et le retard, malheureusement, tendent à confirmer une perception en une réalité. Effectivement, ce sera très difficile de convaincre l’opinion publique qu’il n’y a pas eu maldonne. Le gouvernement est devant le tribunal de l’opinion publique.

Que pensez-vous du fait que de nombreux élus rouges se dissocient du Mouvement Socialiste Militant (MSM) sur ce dossier et se permettent même de dire tout haut le fond de leur pensée ?
On peut qualifier cela comme des actes d’indiscipline au sein du Parti travailliste. Comme c’est un sujet d’intérêt national, je pense qu’on devrait prendre ces voix comme une opportunité pour rétablir les faits. Autant que je sache, la divergence d’opinions n’est pas un délit dans une démocratie.

L’actualité ces temps-ci a été le cafouillage entourant les admissions en Lower VI. Un aspect qui suscite un débat concerne le nombre de « credits » nécessaires pour être admis en Lower VI. Est-ce que vous attribuez cette confusion à l’introduction de nouveaux critères ?
J’ai déjà dit que tout cela n’est qu’un pas en arrière. Il n’y a pas que le cafouillage concernant les critères d’admission. Il y a également les effets d’annonce du ministre Bunwaree concernant un ordinateur portable pour chaque étudiant de la Lower VI à partir de 2011, la climatisation de toutes les salles de classe, la mise en place et l’extension du « Enhancement Programme » sans planification et sans formation, la précipitation pour introduire le kréol comme langue optionnelle, la non-fermeture des collèges privés « sub-standard » et le manque de communication avec les partenaires. Tout cela démontre qu’il n’y a pas de ligne directrice pour l’éducation. Le résultat, c’est le cafouillage et la confusion totale.

Certains pédagogues estiment que les nouveaux critères n’ont aucune valeur pédagogique…
Je ne vais pas polémiquer mais, simplement, je dirai qu’il y a des recherches qui prouvent qu’il y a une corrélation entre les qualifications à l’entrée et les résultats subséquents. Je note, comme pédagogue, qu’il y a une baisse dans la qualité des performances au niveau tertiaire.

Il y a également le problème de combinaisons de matières pour se faire admettre en Lower VI. C’est maintenant qu’un comité technique a été mis sur pied, mais comment les choses se dérou­laient-elles quand vous étiez à l’IVTB House ?
Tout découle d’une bonne planification, et je dois dire que je n’avais pas ce problème à gérer. D’autre part, il ne faut pas permettre ce qu’on ne peut pas offrir. Par exemple, si on veut offrir une matière, il faut qu’il y ait des personnes compétentes pour enseigner.

Quelle évaluation faites-vous de la performance de votre successeur au ministère de l’Éducation ?
Il n’y a pas de grandes choses d’accomplies et sur lesquelles, je pourrais me prononcer. Donc, ce serait prématuré de parler de performance à ce stade. Avant les élections de 2010, c’était la continuité de la politique de l’Alliance sociale, et aujourd’hui, le ministre Bunwaree essaie de se démarquer de la position qu’il avait soutenue entre 2005 et 2010. Mais, j’ai certainement beaucoup d’inquiétudes concernant la gestion du secteur de l’éducation.

Pourquoi ces craintes ?
D’abord, la politique éducative de 2005 à 2010 allait au-delà de l’accès et mettait beaucoup d’accent sur la qualité de l’éducation comme préconisé par l’Unesco à partir de 2005. Aujourd’hui, on sacrifie la qualité. C’est ma grande inquiétude. Dans un contexte de mondialisation, je ne pense pas qu’on puisse sacrifier la qualité dans l’éducation.

Le Mouvement Militant Mauricien (MMM) a soutenu, à plusieurs reprises, que le ministre Bunwaree reprend les grands axes de la réforme Obeegadoo. Partagez-vous ce sentiment ?
Disons qu’au départ, le MMM avait une position très favorable vis-à-vis du ministre Bunwaree. Que voulez-vous ? Le MMM, qui avait brûlé Gokhool, n’avait d’autre choix que d’adorer Bunwaree, inspiré certainement par les conseils d’un de leurs porte-parole en éducation, notamment Suren Bissoon­doyal. Aujourd’hui, le MMM constate le manque de vision et de planification, et commence à se démarquer en adoptant une position critique vis-à-vis du ministre Bunwaree.

Source: DéfiMédia

Sunday, March 6, 2011

The introduction of Creole is a debate

The introduction of Creole in schools is being debated. The Primary Schools Employees Union has stepped into the breach discuss of some ambiguities about the teaching of this optional language in schools.
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In a letter addressed to the Ministry of Education, the union's leaders including President Premnath Gunness and Jugdish Lollbeeharry, technical adviser to the union asserts that the proposals made by that department in a circular dated 21 February are not clear the following reasons:
.
(i) The Ministry proposes that teachers recruited in 2008 "could be invited to express their interest in teaching" the subject.
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"That may be the first time teachers in a particular cohort are asked to support a particular topic. "
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The union does not understand why this decision was taken, they say;
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(ii) The proposal to require those teachers to work in more than one school is "absolutely incomprehensible" and the department needs to explain again or re-examine this issue.
.
(iii) Teachers who have been nominated for the teaching of this language can be frustrated because they are deprived of their free time.
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(iv) The circular did not mention what incentives will be awarded to the category of teachers who teach the Creole language.
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(v) The department must recruit a new category of teachers to ensure the successful introduction of this subject.
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(vi) Circular "is ambiguous", some teachers refuse to get involved.
The union insists that the teaching of this subject is not imposed on all teachers who are already in charge of classes.
.
The union intends to make new proposals to the Ministry of Education in the future.