Rajwantee, 32 ans, ne peut cacher sa colère. Cette habitante de l’Est a consigné, jeudi, une déposition à l’encontre de l’institutrice de son fils Dinesh (prénom fictif). Elle accuse la « miss » d’avoir frappé son benjamin de cinq ans avec trois règles superposées.
Les faits se seraient produits mercredi, après la récréation. La jeune mère est interpellée par les pleurs et les gémissements de son fils, alors qu'elle le change. Le garçonnet, en Std 1 dans une école gouvernementale de l'Est, disait avoir mal au dos et était couvert de bleus. Après avoir cherché, le jour même, des explications avec la maîtresse, la mère décide de porter plainte.
Le lendemain, mère et fils se rendent à l’hôpital de Flacq avant d'aller au poste de police où une Form 58 leur est remise. Rajwantee allait tomber des nues en apprenant les révélations de Dinesh aux policiers. Selon le garçonnet, il n'en était pas à sa première correction. « Depuis lundi, 'miss' me frappe », dira-t-il dire.
Mercredi, après la recréation, le petit rentre en classe. Place alors à la leçon d’anglais. Selon Dinesh, c'est pendant ces cours qu'il sera puni. Il raconte que son institutrice lui aurait infligé deux coups avec trois règles superposées. Sous la douleur, le gamin se met à pleurer, alors que l'institutrice regagne sa place.
Un des amis raconte alors à une tante de Dinesh, venue le récupérer à la sortie des classes, qu'il a été puni par la maîtresse. Mais à la maison, Dinesh ne pipera mot de sa punition à sa mère. Celle-ci est alors intriguée et inquiète par les gémissements de douleur et les pleurs du gamin. « Il ne pouvait pas bouger le bras », explique-t-elle. Elle l'interroge, pensant qu'il avait fait une chute en jouant ou qu'il s'était fait malmené par d'autres enfants.
Elle sera surprise de la réponse de son fils. « Miss ine batt mwa », lâche l'enfant. Sans perdre de temps, elle se rue vers l'école toute proche pour exiger des explications. L'institutrice est alors convoquée dans le bureau du maître d'école. Elle dira que Dinesh a été puni pour n'avoir pu faire un exercice d'anglais.
Poussées de fièvre
Mais pour Rajwantee, l'explication ne suffit pas. Elle veut savoir pourquoi son fils a été corrigé avec trois règles superposées. « Excusez-moi ! J'ai fait une erreur », aurait alors lancé la « miss ».
Selon Rajwantee, « son « fils n’a pas fermé l’œil de la nuit. Il avait des poussées des fièvre ». Pour elle, les coups reçus en seraient la cause. Elle a conduit Dinesh à l’hôpital de Flacq. « Je ne compte pas en rester là », fulmine la jeune mère.
Jointe au téléphone, l’institutrice affirme ne pas être au courant que la mère du petit a porté plainte. Elle lâche toutefois l’accusation portée contre elle est « fausse ».
Les faits se seraient produits mercredi, après la récréation. La jeune mère est interpellée par les pleurs et les gémissements de son fils, alors qu'elle le change. Le garçonnet, en Std 1 dans une école gouvernementale de l'Est, disait avoir mal au dos et était couvert de bleus. Après avoir cherché, le jour même, des explications avec la maîtresse, la mère décide de porter plainte.
Le lendemain, mère et fils se rendent à l’hôpital de Flacq avant d'aller au poste de police où une Form 58 leur est remise. Rajwantee allait tomber des nues en apprenant les révélations de Dinesh aux policiers. Selon le garçonnet, il n'en était pas à sa première correction. « Depuis lundi, 'miss' me frappe », dira-t-il dire.
Mercredi, après la recréation, le petit rentre en classe. Place alors à la leçon d’anglais. Selon Dinesh, c'est pendant ces cours qu'il sera puni. Il raconte que son institutrice lui aurait infligé deux coups avec trois règles superposées. Sous la douleur, le gamin se met à pleurer, alors que l'institutrice regagne sa place.
Un des amis raconte alors à une tante de Dinesh, venue le récupérer à la sortie des classes, qu'il a été puni par la maîtresse. Mais à la maison, Dinesh ne pipera mot de sa punition à sa mère. Celle-ci est alors intriguée et inquiète par les gémissements de douleur et les pleurs du gamin. « Il ne pouvait pas bouger le bras », explique-t-elle. Elle l'interroge, pensant qu'il avait fait une chute en jouant ou qu'il s'était fait malmené par d'autres enfants.
Elle sera surprise de la réponse de son fils. « Miss ine batt mwa », lâche l'enfant. Sans perdre de temps, elle se rue vers l'école toute proche pour exiger des explications. L'institutrice est alors convoquée dans le bureau du maître d'école. Elle dira que Dinesh a été puni pour n'avoir pu faire un exercice d'anglais.
Poussées de fièvre
Mais pour Rajwantee, l'explication ne suffit pas. Elle veut savoir pourquoi son fils a été corrigé avec trois règles superposées. « Excusez-moi ! J'ai fait une erreur », aurait alors lancé la « miss ».
Selon Rajwantee, « son « fils n’a pas fermé l’œil de la nuit. Il avait des poussées des fièvre ». Pour elle, les coups reçus en seraient la cause. Elle a conduit Dinesh à l’hôpital de Flacq. « Je ne compte pas en rester là », fulmine la jeune mère.
Jointe au téléphone, l’institutrice affirme ne pas être au courant que la mère du petit a porté plainte. Elle lâche toutefois l’accusation portée contre elle est « fausse ».
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