La direction d’une école primaire est sur le qui-vive depuis jeudi. Des écoliers du CPE s’échangeraient des clips pornos durant la récréation, tandis que des écoliers de Std V s’adonneraient à des jeux sexuels.
Ils sont âgés entre 10 et 11 ans. Comment croire qu’à cet âge où l’on prône l’innocence chez les enfants, certains se concentrent sur des jeux sexuels ? La réalité est bien là pour les écoliers d’un établissement primaire de la capitale. Ils ont trouvé des moyens plutôt inhabituels pour s’occuper durant les heures de récré.
Au mois de juin, des écoliers du CPE ont, semble-t-il, fait circuler deux clips à caractère pornographique de cellulaire à cellulaire, via Bluetooth. Finis les jeux de marelle et de ronde, place aux « jeux plus excitants , selon ces jeunes. Depuis jeudi, la Child Development Unit (CDU) se retrouve face à une plainte concernant ces élèves plutôt précoces. La situation est alarmante. Cette école est principalement fréquentée par des élèves issus de familles brisées et/ou en difficultés financières.
Outre les clips pornographiques que les ‘grands du CPE’ font circuler, voilà que des élèves de Standard V se livrent à des jeux sexuels peu recommandables et qui ont la cote. Garçons et filles s’amusaient, depuis une semaine, à plonger la main dans les sous-vêtements de l’un et l’autre et à s’embrasser. Le pot aux roses a été découvert durant la semaine. C’est une écolière de Std V qui a vendu la mèche à sa maîtresse.
Interrogée par l’enseignante, la fillette de 10 ans explique qu’elle a autorisé son camarade de classe à la toucher et qu’elle appréciait le geste. D’ailleurs, elle aurait fait de même. Les parents des deux écoliers ont été convoqués. Mis devant les faits, ils n’ont pas voulu, au départ croire en cette histoire. Ils durent vite déchanter lorsque leurs ‘chers petits’ ont tout avoué en leur présence, en leur présentant des excuses.
Les clips adultes en circulation
Dans l’un des clips pornographiques en circulation, l’on peut voir une « mère Noël » en tenue légère, près d’un sapin, qui s’amuse avec un ‘sex toys’. Un homme d’une quarantaine d’années, bien bâti, se trouve à l’étage. En entendant du bruit, il suspecte la présence d’un voleur au rez-de-chaussée. Armé d’un gourdin, il descend les escaliers à pas de loup.
À sa grande surprise, il surprend une belle blonde plantureuse, qui l’invite à venir à ses côtés. Le quadragénaire succombe au charme de la pulpeuse mère Noël qui s’est livrée à une mini-séance de strip-tease. Le clip dure cinq minutes.
Le deuxième clip en circulation intitulé « xmas russian girl sexy » met en scène un couple qui se livre à une partie de jambes en l’air, pendant quatre minutes sur la neige près d’une voiture. La mère Noël est même sodomisée.
Les officiers de la Child Development Unit (CDU) et de la Brigade des mineurs se sont rendus sur place. La maîtresse d’école a longuement été interrogée suite à cette plainte. L’affaire est suivie de près par les autorités.
Sollicitée au téléphone, la directrice explique qu’elle ne peut faire de commentaires sur cette affaire sensible. Elle nous a référé au Bureau de l’Éducation Catholique (BEC). Le Défi Plus a tenté de prendre contact avec l’un des responsables, mais sans succès.
Rappelons qu’un cas similaire avait été rapporté à la CDU en juin dernier. Des fillettes de sept ans d’une école de Curepipe s’amusaient à déshabiller des filles de cinq ans près des toilettes, avant de se livrer à des attouchements sur elles.
Ils sont âgés entre 10 et 11 ans. Comment croire qu’à cet âge où l’on prône l’innocence chez les enfants, certains se concentrent sur des jeux sexuels ? La réalité est bien là pour les écoliers d’un établissement primaire de la capitale. Ils ont trouvé des moyens plutôt inhabituels pour s’occuper durant les heures de récré.
Au mois de juin, des écoliers du CPE ont, semble-t-il, fait circuler deux clips à caractère pornographique de cellulaire à cellulaire, via Bluetooth. Finis les jeux de marelle et de ronde, place aux « jeux plus excitants , selon ces jeunes. Depuis jeudi, la Child Development Unit (CDU) se retrouve face à une plainte concernant ces élèves plutôt précoces. La situation est alarmante. Cette école est principalement fréquentée par des élèves issus de familles brisées et/ou en difficultés financières.
Outre les clips pornographiques que les ‘grands du CPE’ font circuler, voilà que des élèves de Standard V se livrent à des jeux sexuels peu recommandables et qui ont la cote. Garçons et filles s’amusaient, depuis une semaine, à plonger la main dans les sous-vêtements de l’un et l’autre et à s’embrasser. Le pot aux roses a été découvert durant la semaine. C’est une écolière de Std V qui a vendu la mèche à sa maîtresse.
Interrogée par l’enseignante, la fillette de 10 ans explique qu’elle a autorisé son camarade de classe à la toucher et qu’elle appréciait le geste. D’ailleurs, elle aurait fait de même. Les parents des deux écoliers ont été convoqués. Mis devant les faits, ils n’ont pas voulu, au départ croire en cette histoire. Ils durent vite déchanter lorsque leurs ‘chers petits’ ont tout avoué en leur présence, en leur présentant des excuses.
Les clips adultes en circulation
Dans l’un des clips pornographiques en circulation, l’on peut voir une « mère Noël » en tenue légère, près d’un sapin, qui s’amuse avec un ‘sex toys’. Un homme d’une quarantaine d’années, bien bâti, se trouve à l’étage. En entendant du bruit, il suspecte la présence d’un voleur au rez-de-chaussée. Armé d’un gourdin, il descend les escaliers à pas de loup.
À sa grande surprise, il surprend une belle blonde plantureuse, qui l’invite à venir à ses côtés. Le quadragénaire succombe au charme de la pulpeuse mère Noël qui s’est livrée à une mini-séance de strip-tease. Le clip dure cinq minutes.
Le deuxième clip en circulation intitulé « xmas russian girl sexy » met en scène un couple qui se livre à une partie de jambes en l’air, pendant quatre minutes sur la neige près d’une voiture. La mère Noël est même sodomisée.
Les officiers de la Child Development Unit (CDU) et de la Brigade des mineurs se sont rendus sur place. La maîtresse d’école a longuement été interrogée suite à cette plainte. L’affaire est suivie de près par les autorités.
Sollicitée au téléphone, la directrice explique qu’elle ne peut faire de commentaires sur cette affaire sensible. Elle nous a référé au Bureau de l’Éducation Catholique (BEC). Le Défi Plus a tenté de prendre contact avec l’un des responsables, mais sans succès.
Rappelons qu’un cas similaire avait été rapporté à la CDU en juin dernier. Des fillettes de sept ans d’une école de Curepipe s’amusaient à déshabiller des filles de cinq ans près des toilettes, avant de se livrer à des attouchements sur elles.
DéfiMédia
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